Nez : d’abord très rond, on pourrait même dire gras. Puis beaucoup de fruits secs avec une touche salée. Le côté animal commence à prendre de l’ampleur. Le nez est plein de gourmandise. Tout en épaisseur, au fur et à mesure de l’ouverture il donne de plus en plus faim. Nez sublime. Enfin nous partons sur le cuir et le bois précieux.
Bouche : attaque douce. Elle s’ouvre sur l’oxydation, les fruits et le bois précieux. La bouche se révèle un peu moins animale que prévu. Ensuite, prennent places les épices et les fruits secs. Enfin nous constatons une certaine salinité. La bouche respecte le nez, avec plein de caractère sans que pour autant cela prenne le dessus. Exotique.
Finale : longue, boisée, saline, sur les fruits secs mais toujours les fruits. S’ouvre au fur et à mesure sur le bois tout en restant animal.
Couleur : ambre foncé, mais légèrement plus pâle que le bourbon.
Nez : pas si différent au premier abord, et c’est probablement plus une question de bois que de sherry en tant que tel.
Après quelques secondes, celui-ci se développe plutôt sur le bois résineux, le thuya, le pin et autres (et le cèdre), devenant plus balsamique que la version bourbon, plus herbacée aussi. Camphre, thym… et tout autant de tabac. On dirait presque renifler un paquet de tabac à pipe fraîchement ouvert. Avec de l’eau : hourra ! Vieux thé pu-erh, lapsang souchong, champignons, très vieux vin jaune, fumée de pin… Bouche (pure) : une fois de plus, on n’est pas si loin de la version bourbon. Mêmes oranges et mandarines, mêmes épices, juste un peu plus de rondeur et de facilité, peut-être à cause du degré d’alcool plus faible. Donc oui, c’est un tout petit peu plus léger, mais ne vous méprenez pas, c’est un énorme whisky. Avec de l’eau : c’est un thé précieux et terreux – oui, nos vieux pu-erhs adorés. Je ne comprends pas vraiment pourquoi ils y ont ajouté de l’éthanol ;-).
Finale : longue, devenant encore plus terreuse, avec des tanins qui dansent sur la langue. Enfin, une sensation de tanins. Commentaires : pourquoi les bonnes choses de la vie sont-elles si rares ? Vous avez raison, et si chères ? J’étais prêt à aller jusqu’à 94, mais les tanins légèrement asséchants en finale m’ont fait revoir ma note.
Couleur : ambre foncé, mais légèrement plus pâle que le bourbon.
Nez : pas si différent au premier abord, et c’est probablement plus une question de bois que de sherry en tant que tel.
Après quelques secondes, celui-ci se développe plutôt sur le bois résineux, le thuya, le pin et autres (et le cèdre), devenant plus balsamique que la version bourbon, plus herbacée aussi. Camphre, thym… et tout autant de tabac. On dirait presque renifler un paquet de tabac à pipe fraîchement ouvert.
Avec de l’eau : hourra ! Vieux thé pu-erh, lapsang souchong, champignons, très vieux vin jaune, fumée de pin… Bouche (pure) : une fois de plus, on n’est pas si loin de la version bourbon. Mêmes oranges et mandarines, mêmes épices, juste un peu plus de rondeur et de facilité, peut-être à cause du degré d’alcool plus faible. Donc oui, c’est un tout petit peu plus léger, mais ne vous méprenez pas, c’est un énorme whisky. Avec de l’eau : c’est un thé précieux et terreux – oui, nos vieux pu-erhs adorés. Je ne comprends pas vraiment pourquoi ils y ont ajouté de l’éthanol ;-).
Finale : longue, devenant encore plus terreuse, avec des tanins qui dansent sur la langue. Enfin, une sensation de tanins. Commentaires : pourquoi les bonnes choses de la vie sont-elles si rares ? Vous avez raison, et si chères ? J’étais prêt à aller jusqu’à 94, mais les tanins légèrement asséchants en finale m’ont fait revoir ma note.